Je finirai aujourd'hui là dessus : en communication en conscience nous apprenons à communiquer selon les faits, rien que les faits. Pas de jugements, pas de supputation, rien que les faits.
Hier ce sont des hommes qui ont tué d'autres hommes sur le motif d'idéologie. faut il chercher la propagande ? faut il chercher qui manipulent qui, faut il chercher le vrai du faux... oui sans doute, mais après avoir chercher en vous mêmes ce que vous vous êtes, ce que vous vous voulez, sinon ce serait se perdre en supputations et ne pas entendre le fond concret.
Le fond concret est que ce sont des hommes qui ont prit la vie de d'autres hommes sur le motif d'une idéologie. Les faits rien que les faits... des faits qui nous invitent à nous regarder dans la glace, et à nous poser la question :
"qu'est ce que je ressens ? de quoi ais je besoin par rapport à ça ? où est-ce que je me situe ? que vais je mettre en place moi par rapport à ça ? quel est mon désir vis à vis de l'ensemble ?"
De la haine ? de la colère ? de la violence ? choisir le changement ? la nouveauté ? une réponse qui ne serait pas le simple écho "oeil pour oeil, dent pour dent" ?
En communication en conscience nous créons des ponts. En communication "oeil pour oeil" nous détruisons des ponts.
Chacun fait un choix. Aucun choix n'est plus mauvais qu'un autre. Tout a du sens.
Les deux réponses sont bonnes, mais chacun doit savoir où il se situe lui même dans ce choix.
Pour construire une nouvelle maison, il faut détruire l'ancienne... avant toute naissance il y a un chaos. Rien ne sera inutile. Personne ne sera inutile. Mais chacun doit regarder en lui même... et chercher si vite si c'est de la manipulation, de la propagande, du ceci du cela, est tout sauf regarder en soi... c'est chercher des réponses extérieures à une question intérieure... c'est posé son angoisse sur un ailleurs qui n'a au final que peu d'importance par rapport aux faits concrets, palpables.
La seule réalité concrète se trouve dans les faits. rien que les faits. Ses hommes ont choisis de tirer sur d'autres hommes.
Faisant que ceux qui nous faisaient rire hier, nous font pleurer aujourd'hui. C'est un peu ça la perversité : transformé une chose en son opposé. C'est un peu ça le narcissisme : pensez que nos idées sont meilleures que celles des autres.
Le tout mélangé avec un manque cruel de compassion ?
Observez et entendez... Que se passe t'il en vous ?
Que voulez vous, vous ?
Prenez le temps de ces questions... je vous en conjure, prenez le temps... c'est important pour vous mêmes, pour notre devenir à tous.
Bonne journée à tous 💕