Parents d'un seul enfant depuis une semaine (PetitChou profite de la Bretagne avec ses grands-parents et son parrain afin de nous faciliter la reprise du boulot), je me sens pleine de sentiments contradictoires.
C'est sûr que gérer un petit bout de 2 mois peut être fatigant mais comparé à notre pipelette internationale qui nous sollicite en quasi-permanence pour jouer à la dînette, au ballon, au memory, à la marchande, aux pâtés de sable et j'en passe, c'est plutôt de la rigolade !
Et puis on ne va pas se plaindre. Cette semi-liberté nous permet de profiter de Nantes, des restos avec les copains, des soirées improvisées en terrasse, des réveils un peu plus tardifs (encore que...) mais surtout du SILENCE ! Et il faut avouer que ça fait du bien parfois de s'entendre penser et de ne pas être aussi speed que d'habitude.
Une petite pause appréciée avant le grand chamboulement de la rentrée scolaire, un petit goût de vacances qui se prolongent malgré la reprise...
Mais pourtant qu'est ce qu'elle me manque ma grande fille ! Je suis évidemment heureuse qu'elle s'épanouisse loin de nous, qu'elle se crée d'autres souvenirs, qu'elle continue de tisser des liens forts avec Parrain, Papistache et MamiGaga mais quand bien même, je compte les dodos jusqu'à jeudi.
Et vous, vous connaissez cette ambivalence des sentiments quand vos petits bouts ne sont pas là ? Je vous embrasse.