Prénoms 2016 : retour aux classiques

Publié le 23 mars 2016 par Lara @Grossesse_Paris

Futurs parents, le choix du prénom est une préoccupation quotidienne !

Quelles ont été les tendances en 2015 et quelles seront celles pour 2016 ?

Côté filles, on a remarqué un net retour aux prénoms « classiques » : Louise, Juliette ou encore Suzanne.

Les prénoms Emma, Chloé, Manon ou encore Inès restant les prénoms les plus répandus .

Côté garçons , même tendance… Les « classiques » avec Jules et Armand en tête, suivi de Luca et Léo.

Pour 2016, Adam devrait être en tête de liste, Enzo ou encore Arthur, Alice , Camille et Lana.

Trop classiques ? Voici des prénoms originaux déjà entendus: Louve, Neige, Sully ou Victorin.

Côté formalités, sachez que le choix du prénom peut se faire jusqu’à la naissance mais doit être officialisé au plus tard dans les trois jours, grâce à la déclaration de naissance. La déclaration du prénom à l’état civil est une procédure obligatoire et gratuite à réaliser à la mairie du lieu de naissance. C’est généralement le papa qui s’en occupe, ou la personne qui a assisté à l’accouchement. ( site officiel de l’administration française.)

Il faut se munir des documents suivants : certificat de naissance établi par la maternité, jour, heure et lieu de naissance, sexe de l’enfant, son nom de famille ainsi que les prénoms, noms, âges, professions et domiciles des parents.

Si vous êtes mariés, pensez à prendre le livret de famille et éventuellement la déclaration du choix de nom.

Vous pouvez donner plusieurs prénoms, le nombre de prénoms n’est pas fixé par la loi. Ceci n’est pas anodin, car tout prénom inscrit dans l’acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel.

Attention, certains prénoms comme Nutella ou Fraise ont récemment été rejetés.

Ainsi, le ou les prénoms de l’enfant sont choisis par ses parents mais le choix doit toutefois respecter certaines règles au nom de l’intérêt de l’enfant. C’est l’officier de l’état civil qui valide ou pas la décision. En cas de désaccord il est possible de saisir un juge aux Affaires Familiales.