Il y a peu de temps alors que la journée mondiale de l’autisme approchait, AnaĂŻs, m’a contacté pour me proposer de lire « Une petite chose sans importance » de Catherine Fradier.
J’ai accepté sans hésiter. Fan de roman jeunesse c’était comme une évidence pour découvrir ce très bel ouvrage.
Synopsis :
Sacha, un adolescent souffrant du syndrome d'Asperger, a été retiré du système scolaire par sa mère, médecin humanitaire qui décide alors d'emmener avec elle son fils lors de ses missions à travers le monde.
Dans Une petite chose sans importance, nous suivons Sacha en République Démocratique du Congo, qui se lie d'amitié avec Destinée, une enfant soldat de 15 ans au lourd passé.
« Une petite chose sans importance » c’est la traduction du mot Swahili Kadogo
qui signifie « Enfant soldat ».
Voici un petit résumé :
Je ne mange pas avec les autres, l'agitation me perturbe. Je ne mange pas non plus la même chose. Dans mon assiette, les aliments ne doivent pas être mélangés, ni se toucher. (...) Les pensionnaires me parlent rarement. La dernière fois c'était Innocent. Innocent. Un prénom plutôt mal choisi pour un kadogo qui a tué des dizaines de personnes. Kadogo, c'est le nom qu'on dosse aux enfants soldats du Kivu. En swahili, la langue parlée dans la région, kadogo se traduit par une petite chose sans importance.
Mon avis :
J’ai été séduite par cette histoire qui insiste sur l’autisme. Ce genre d’histoire me touche particulièrement et j’ai beaucoup aimée la relation que Sacha construit avec son amie.
Si vous aimez ou recherchez un très beau roman « jeunesse », je vous invite à lire
Une petite chose sans importance. Rassurez-vous, il est rapide à lire (176 pages).
Une petite chose sans importance. Catherine Fradier, Au diable Vauvert, 12â‚Ź.
Article sponsorisé.
Connaissez-vous « Au diable Vauvert » ? Voulez-vous lire Une petite chose sans importance ?